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16 octobre 2010 6 16 /10 /octobre /2010 05:41

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22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 00:00

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21 août 2010 6 21 /08 /août /2010 14:35

 

 

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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 14:30

Un félin immaculé croisé à une heure bien tardive dans le parc du Chateau de Chanteloup

 

 

 

 

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 12:09

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17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 15:05

 

A la poursuite de miss T sur les routes mancelles

 

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 16:00

 

 

J'étais, je dois l'avouer assez dubitatif quant au choix almondgreenesque à l'unanimité moins 1 voix de preferer un camping à 20 km du circuit (même 4*) au camping à l'ancienne au Houx. Il parait que c'était une histoire de propreté des sanitaires et de quiétude ....  

Dans mon for interieur je pestais devant ce choix "bourgeois" de mes congénères et craignais de manquer une (trop) grande partie de l'événement.

 

Vous connaissez la suite, bien aidé par des conditions caniculaires, le camping de Chanteloup et sa piscine ont emporté mon adhesion très rapidement.

 

 

Mais le soleil n'est pas responsable tout, le lieu est admirablement tenu, les emplacements sont vastes et espacés. Le voisinge fait de Ferrari, d'Aston, de Noble, Ultima, Elise, MG.... est agréable et les propriétaires ainsi que toutes les personnes y travaillant sont d'une amabilité rare.

 

- "Bonjour, nous souhaitons boire notre bouteille de rosé au bord de la piscine, mais elle est un peu chaude, auriez vous un peu de glace à nous donner ?"

 

- " Aucun souci, mettez votre bouteille dans notre congélateur et quand vous viendrez la chercher, nous vous donnerons au seau à champagne rempli de glaçon..."

 

- "merci....."

 

- 'Au fait, avez vous des verres ?

 

- "euh, non...."

 

- "tenez, prenez ceux là"

 

- "merci..."

 

 

De plus ils organisent une "garden party" pour celebrer Le Mans Classic. Que demander de plus...

 

Rendez vous donc en 2012.

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24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 08:09

Tranquilles…

 

 

Dimanche matin, le soleil est toujours au rdv, si bien que le doute s’installe quant à la pertinence de retourner au circuit. Bien vite nous prenons partie de rester paisiblement autour de la piscine. Croissants et p’tit dej avalés, nous gagnons notre QG du week-end, à savoir la piscine, nous y resterons 3 heures, alternant bains et repos à l’ombre, célébrant d’un rosé bien frais cet apéro final afin de prolonger encore de quelques heures ce délicieux week-end. Miss T en famille, lestée de Soap profitera des 12 coups de midi pour s’éclipser direction Paris et rattraper en route une escouade de congénères dont de désirables RS

 

Il est maintenant 16h,  les courses doivent s’achever au Mans, Mark Webber a gagné le Grand Prix de Grande Bretagne, sans nous et il est l’heure de clôturer ce superbe week-end et regagner notre chère capitale. Nous imaginons un itinéraire fuyant les grandes artères via Mamers, Dreux, Houdan…

 

Mais les forces du mal discrètes jusqu’à présent ont décidé de nous compliquer la tâche. Mon embrayage qui avait déjà connu une alerte la veille dans les bouchons décida de se mettre en grève. Juju prit remarquablement les choses en main et décréta qu’il fallait purger, « si ce n’est pas ça, au moins tu n’auras plus de bulles dans ton circuit ». Aussitôt dit aussitôt fait, pas aussi facile en fait, mais une fois réussie cette purge échoua à remettre l’embrayage au travail. Un briton bienveillant qui nous assistait de ses conseils en vint à la même conclusion que nous « mecanic not hydrolic … » et me fit la folle suggestion de tenter le retour sur Paris sans embrayage  en passant les rapports au régime…

 

Epris d’aventure ou inconscient, je décidai alors de relever le defi me disant de toutes les façons qu’appeler l’assistance à Sillé-le-Philippe ou à Dreux reviendrait à peu près au même.

Nous convenons que Porsche et 1150 m’encadreraient dans mon aventure.  Départ douloureux en 3ème et me voila parti pour ma cavalcade….

Après de quelques minutes de route, je n’aperçois toujours pas mes compères dans le rétroviseur, peut être me suis-je trompé de chemin, mais je ne peux m’arrêter sans risque de ne pas repartir.  Le defi devient à ce moment de taille, je me retrouve en effet seul, sans téléphone, sans carte routière et devant tenter au maximum de ne pas m’arrêter. Mais on est intrépide ou on ne l’est pas. Je joue sur 3 et 4 pour les traversée de village, j’anticipe feux et rond points de sortes que cela ne va pas trop mal. J’approche de Dreux non sans avoir parfois loupé douloureusement quelques passages…..et m…, des bouchons s’annoncent…..

J’avais senti depuis quelques kilomètre que les passages paraissaient plus souples, à l’approche du bouchon la rétrogradation de 4 en 3 se fait sans bruit, je rêve, dans un excès d’optimisme je tente la 2nde et miracle cela passe,  l’embrayage a décidé de se remettre au boulot après 1h30 de grève. Les 50 derniers kilomètres se passeront sans encombre, juste la crainte inconfortable qu’il ne relâche.

Tout finira bien, l’inopérance de mon bip retardera simplement encore la conclusion du week end de quelques minutes…

 

 

Epilogue :

 

Recharger mon téléphone me permettra de rassurer tout le monde quant à l’issue de ma cavalcade et d’apprendre que Juju avait perdu son mobile dans la bataille de l’embrayage de l’Elan.

Ce week-end mérite un 20/20 sur toute la ligne, du Run Epicure au seau à champagne plein de glace du dimanche midi. Un temps somptueux, de vrais potes réunis, des caisses jusqu’à l’écœurement, un cadre partout magnifique et une piscine…

 

Que ceux qui l’ont manqué le regrette !

 

 

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19 juillet 2010 1 19 /07 /juillet /2010 09:41

Le Mans nous voilà !

 

Le lendemain matin, tous en ordre de bataille pour gagner enfin le circuit. Il fait déjà chaud, nous ne nous attardons pas au bord de la piscine de peur d’y rester scotchés. 

 

 

 

En route !

 

Enfin, en route quand nous aurons retrouvé les clés de mon Elan, clés égarées entre l’auto et le restaurant la veille au soir… L’Elan est ouverte avec le coupe ongles de soap (si, si !) et fouillée de fond en comble, la 911 dans laquelle j’ai voyagée la veille au soir, fouillée également, le restaurant appelé, l’herbe inspectée, le parking du restaurant aussi…rien, nada, que dalle…. « Désarroi déjà roi » comme chantait un célèbre duo de chansonniers dionysiens peu respectueux des génitrices.

 

Et soudain la lumière jaillit, Laurent exhibe fièrement mes clés. Non, il ne s’agit pas d’une blague potache, il les a retrouvées derrière la banquette arrière de sa Porsche, on me rappelle ironiquement que je prétendais avoir fouillé la Porsche, comme si je savais qu’une banquette de 911, ça se rabattait…

(Remarque de l’auteur : 1 point de plus en faveur du caractère utilitaire des 911…)

 

Maintenant, en route, vraiment … !

 

Finalement le château est plus près du Mans que nous ne le pensions, en moins de 20 minutes nous atteignons les abords du circuit via des petites routes roulantes, mais nous mettrons près d’une 1h 30 pour parcourir les 2 derniers kilomètres et gagner l’espace Epicure. Ce fut un gigantesque bordel qui vit un certains nombres d’autos abandonnées sur le bord de la route. Bien qu’admirablement entourés, ce moment fut vraiment pénible. Il fait trop chaud, les autos commencent à chauffer, les co-pilotes se barrent sur le bord de la route à la recherche d’ombre ou d’un hypothétique courant d’air frais. Au bout de la bretelle, nous pensons avoir vaincu cette congestion et non, m…. !, il faut reprendre la 4 voies dans l’autre sens pour ressortir. Au bout de cette heure et demi au pas, nous pénétrons enfin dans le saint des saints.

L’espace Epicure est à sa place et cette année l’accès est gardé, aucun usurpateur ne pourra entrer ! Laurent revient, où es tu ?

Chacun se gare finalement et hop, direction les paddocks ; juste le temps d’assister à une scène qui démontrera que les représentants de sa gracieuse majesté disposent d’un flegme à rendre totalement fou n’importe quel latin.

 

 

Les paddocks sont bien entendu de rêve, on s’y habituerait presque. La liste des bijoux rencontrés tant dans les paddocks que dans les espaces clubs serait trop longue à établir. Si on m’y obligeait, je retiendrais côté course l’imposante rangée de Talbot alignées sous les tentes du plateau 1 et les 935 « Moby Dick » hurlantes rejoignant la pré-grille ; côté clubs je me laisserai volontiers tenter par la Seven Serie 3 ex-Crombac toute d’alu brut vêtue croisée sur le stand du Club Lotus France.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette journée au Mans Classic s’annonce longue, dense et caniculaire, ce qui fera sans doute la fortune des débitants en bière et boissons diverses, les files d’attentes aux différentes échoppes ne disparaissant que minuit bien passé...

 

 

Nous parcourons des kilomètres sous un soleil de plomb dans une quête sans fin du stand MG France et de M&A, on cherche du côté du club Morgan, rien, on traverse la passerelle Dunlop, toujours rien, on retraverse la passerelle, encore rien, on aperçoit des MG alignées mais m…. comment accède-t-on au stand, 2 tunnels et un franchissement du Bugatti plus tard nous trouvons enfin leur E Type, mais désertée par ses occupants. La quête s’avère trop rude pour certains qui retournent à Chanteloup se rafraîchir au bord de la Piscine et pour moi qui vais me reposer en tribune pour assister au départ des courses. Les plus déterminés finiront par atteindre leur but, vite récompensés par quelques victuailles.

 

Parmi toutes les images de course, le départ des plateaux façon Le Mans, les autos fabuleuses, je retiendrais une image que je n’ai malheureusement pas pu immortaliser autre part que dans mes souvenirs, c’est la joie simple, franche et sincère lue sur le visage d’un ami pilote et de son compère après leur 1er relais, totalement éreintés mais atrocement heureux d’être là et de courir sur cette piste mythique avant même de parler perf’ et résultat.

 

Une autre image forte restera, les 12 ans de Sam fêtés le samedi soir, ces 12 bougies soufflées sur le capot de la 911 paternelle, assurément de belles images gravées pour longtemps dans sa mémoire.

 

 

 

 

 

Et puis, il y a la nuit et la magie des phares qui déchirent la nuit, les hurlements magnifiés des bolides.

 

 

 

Nous nous retrouvons au pied du Dunlop pour assister au deuxième relais du plateau 4. Les GT40 qui faussent rapidement compagnie à leurs poursuivants, la E-Type d’un ami tentant de résister à des Elan très affûtées. Les vitesses de passage sont hallucinantes. La fatigue prend lentement le dessus sur notre passion et nous finirons par regagner la Château de Chanteloup sur le coup des 3h du matin.

 

Au dodo maintenant, et je veille à bien ranger mes clés dans ma poche.

 

A suivre…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 juillet 2010 6 17 /07 /juillet /2010 08:39

 

Que les absents ruminent leur défection, ce fut un week-end tout simplement parfait, même les déboires du dimanche soir n’ont pas réussi à atténuer mon plaisir, ajoutant même un soupçon de piment au périple.

 

 

Chapitre 1 – « en route pour Chanteloup »

 

Je dois avouer dès ces premières lignes que je craignais que la proposition soapesque du camping du château de Chanteloup, rapidement soutenue par l’ensemble des verts amandes, aidée par une campagne honteusement mensongère, soit une contrainte de taille à la fluidité du déroulement du week-end, ce fut en réalité un des rouages de son succès !

 

Mais revenons au commencement, vendredi matin, RDV était donné à 7h30 le long des jardins de bagatelles pour le départ du Run Epicure. Nos autos, du moins 3 sur 4, se présentaient non sans mal avant 8h,  l’Elan ayant du lutter pour s’échapper de son parking faute de bip adéquat, le 1150 ayant obligé son pilote à une tardive séance de mécanicage. La Carrera nous rejoindra sur le pont de Suresnes, ses occupants ayant pris leur temps….en revanche rien à signaler du côté de Miss 2.4T et son équipage familial.

 

 

La première étape de concentration nous menait à la Bergerie Nationale de Rambouillet, lieu du vrai départ de ce run. Trop de circulation pendulaire nous contraindra à tronquer cette étape pour arriver à l’heure à la Bergerie. Nous y rencontrons nos compagnons de route, pas moins de 50 autos, parmi lesquelles nous retiendrons dans le désordre, la majestueuse Iso Grifo noire, une très porn early Esprit orange, la magnifique MG Lister suisse, une 356 Carrera immaculée et une RRSSDHC formant avec ses 5 occupants une équipée follement décadente.

 

Départ pour le Moulin de Villeray, une petite troupe se forme, unissant représentants de la perfide Albion et solides teutones. Dès les confins de l’Ile de France passés, nous nous régalons sur des routes avenantes et virolantes, plaisir à la poursuite de la 356 Carrera noire.

 

13h sonnent la pause : les montures se reposent dans un pré au soleil, tandis que les pilotes se restaurent à l’ombre d’un moulin. Forcément cela discute carburateurs et arbre à cames.

 

 

 

 

Il est temps maintenant de gagner Le Mans, je troque mon fidèle Soap contre un jeune co-pilote à la culture automobile aussi solide que précoce, je gagne aussi quelques kilos au change. Les 120 km de cette deuxième étape sont aussi agréables que ceux du matin, à ceci près que le soleil de plomb nous a encore fait gagner quelques degrés supplémentaires. Les degrés de trop, ceux qui lors de la pause ravitaillement à quelques km du circuit, nous convainquent sans difficulté que nous serions vraiment mieux au bord d’une piscine que dans des paddocks étouffants. Nous quérons de quoi nous hydrater (et nous vêtir) et filons à l’anglaise, direction le Château de Chanteloup….

 

 

Nous arrivons dans le parc du Château, les Britons ont débarqué en force, cela s’entend, mais surtout cela se voit… des autos d’une diversité incroyable sont alignées devant les tentes.

 

 

 

Se côtoient Ultima 720 et Aston DB5, Elise et AC Bristol, MG B et 964RS… Nous montons nos tentes, enfin ceux qui en ont… dans un bel espace, entourés par une F430 spyder, une Elan Sprint et une Continental GT.

 

 

 

 

 

 

Nous célébrons le week-end d’un rosé fruité et gagnons derechef la piscine. Que cette baignade fut bonne, d’autant que lolo apparut sur la terrasse de la piscine les bras chargés des bières fraîches vite dégustées. Une certaine idée du bien être en quelques sortes.

A ce moment nous regrettons de n’avoir pris ni bbq ni saucisses tant nous nous sentons bien dans le parc du château.

 

 

 

Reprendre les autos pour aller au Rendez Vous, bar célèbre et unique de Sillé le Philippe, nous apparait comme une contrainte. Nous nous donnons du courage en nous disant qu’à défaut, une entrecôte frites serait la bienvenue.

Au Rendez Vous donc, nous sommes accueillis par l’avenant maitre des lieux aux tatouages façon biker du « Chapter of Le Mans ». Je cherche les œufs mayo et l’entrecôte sur la carte, en vain, sont proposés à la place, un mille feuille de canard, des grenadins de veau et leur pressé de pomme de terre, une brochette de sabre et sa sauce…le tout compilé dans une formule entrée-plat-dessert aux 16€ inattaquables, mêmes les breuvages diverses et variés commandés en quantité peu raisonnable, ne réussirent à alourdir la note.

 

 

De retour au Château avant minuit, notre entrain ne nous permet pas de finir la soirée ainsi, nous allons donc nous mêler aux représentants de sa gracieuse majesté, regroupés pour la garden party du château. Nous craignions d’arriver sur la fin de la soirée…. nous regagnerons nos tentes 4 heures plus tard sans rencontrer la moindre difficulté pour nous endormir. Même Julien, bien aidé par la courtoisie de son ami reconnaitra quelques excès.

 

(…à suivre)

 

 

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